Une secousse sensible et clownesque sur le manque, la mémoire et l’oubli.
Une femme gît au sol, immobile; Une main explore ce corps inerte.
Secousses, agitations, tentative de réanimation, elle ouvre les yeux: Atònita est là.
Immergée dans sa solitude, sa vie se raccroche à une seule chose: la sonnerie du téléphone.
Petit à petit elle crée un monde où elle croit, et nous fait croire qu’elle n’est pas toute seule.
Est-ce un deuil, un rêve, une fuite ?
Un gouffre vertigineux face à une folie fantaisiste.