Ici, le mouvement giratoire perpétuel modifie notre perception de l’espace et du temps ; il ouvre symboliquement les portes d’une nouvelle réalité, un portail de connexion avec le sacré. Au travers de cette performance physique, conduite jusqu’à l’épuisement, Juan Ignacio Tula amène son corps au-delà de ses frontières et, dans ce voyage d’élévation, s’interroge et se dévoile.