Du petit à l’immense, une sorte de zoom. De l’individu à la masse. Il y a l’anonymat, la capacité d’agir, l’accident, le conscient, l’inconscient et puis Maria, qui elle a tout vu mais qui n’a rien fait. L’incapacité d’agir : l’angoisse.
Nous sommes quatre au plateau, un qui joue du violoncelle, un qui éclair, une qui se tord et une qui parle. Chacun se débat en lui-même mais aussi au milieu des autres.
« Ce qu’il faut bien comprendre, c’est qu’on ne peut pas s’extirper de soi-même et qu’on ne ressort pas indemne de chaque seconde écoulée… Alors ? Qu’est-ce qu’on fait ? La fuite ? Je serais tentée d’en faire l’éloge. »