Au-delà de la dimension performative et physique, il me semble qu’il y a quelque chose d’universel à partager dans la quête de l’état limite. La transe demande à la fois un absolu lâcher-prise et une extrême présence, tout comme le mouvement giratoire perpétuel qui abolit la durée au profit de l’instant. Cela traduit bien les sensations paradoxales qui peuvent nous traverser en tant qu’individus.